IMAGE en tête, PAROLES en suspend?
"Le pêcher originel": Accéder à l'arbre de la connaissance du bien et du mal: une perte de conscience de la réalité? Un fractionnement entre l'illusion de l'avoir et la conscience de l'être. Une recherche de pouvoir de l'avoir sur l'être par ignorance de la conscience de l'être, la réalité de qui "JE" suis. L'emprisonnement de l'être dans la matière "le moi": " La chute"
Comment retrouver l'usage de la parole?
La parole est donnée à l'individu lorsqu'il n'est pas dans une recherche de vérité, de pouvoir de domination de "l'avoir"au profit de l'intérêt personnel du moi illusoire.
La parole est pré-personnelle.Elle "est" le verbe créateur, le pouvoir de la conscience du "JE"(u).
Vérité ou croyance?
L’amour est omniprésent. Peux tu réellement manquer d’amour ?
Arrête-toi, regarde mieux…..
Est-ce que ta vérité t’empêche de le savoir ? Est-ce que ces pensées qui surgissent constamment dans ta tête, avec toujours plus de vérité, cachent ton essence, le rayon de lumière qui pourrait te permettre de t’épanouir.
Écoute mieux…..
Le silence parle de toi. Serais tu capable d’écouter ce qu’il ne dit pas sur toi et manifester la joie qui donne l’essence à la vie.
L’amour se sait, il ne se connait pas. Dès qu’il se connait, il perd sa lumière pour se cacher dans l’obscurité de sa définition, de son appartenance, de cette vérité!
Peut-on dire, que seul celui qui n’est pas sous l’influence de la vérité dicté par la croyance sait?
Peut-on se battre en son nom dans tous nos discours, dans toutes nos actions?
« La vérité n'est-elle pas le résultat de la fierté inassouvie d'un moi, l’arrogance de connaitre mieux que l’autre à travers le jugement afin de se donner le pouvoir d’exister séparé ...de sa source!
Ce chemin semé d’ignorance, dominé par la croyance collective dysfonctionnelle du : Je connais donc je sais, je sais donc je domine, ou j'impose ma volonté
Seule la conscience de l'être, défi le temps et l’espace et défini la réalité.
La vérité soumise aux influences de l’interprétation subjective du mental devient l’illusion mensongère de la réalité.
En son nom, la vérité détruit tout ce qui n’est pas sien. Sa possession de la connaissance exprime son pouvoir de domination dans le royaume de l’inconscient, illusion du savoir.
La vérité, pour les uns, en tant que mensonge, pour les autres, devient le paradoxe incompréhensible pour le mental en rupture avec son savoir, sa réalité. Le doute qui en résulte le pousse à déterminer des actions sans jamais avoir la certitude de la justesse de celles-ci. Le résultat de ces actions devient alors, lui aussi, incertain et l’inquiétude s’installe. La souffrance apparaît de l’interprétation erronée et l’incompréhension de la réalité. L’action passée, incompréhensible s’inscrit dans la mémoire et la peur de voir l’expérience se répéter apparaît. La vérité devient le fléau du mental conditionné; Ces comportements inconscients amènent à toute forme de souffrance.
Le défi du maintenant ?Accéder en tant que "moi" le reflet à l'être la réalité de qui "JE" suis.
Le discernement s’arrête là ou l’illusion commence, royaume du concept de la vérité du "moi" égoïque, du pouvoir de "l'avoir", d'où la souffrance et la peur de la domination règne en maître.Tout maître de la connaissance en tant que "ma vérité" est l’objet de la domination primaire organisée non évolutive car la vérité emprisonne. Le savoir permet de se libérer du connu des mémoires subjectives et engendre l’évolution vers la perfection, manifestation de la conscience de l'être.
La connaissance est le siège de l’illusion, des pensées polarisées, figées, cristallisées dans "un temps", l’incapacité de savoir maintenant.Connaître: c'est percevoir de l"extérieur, c'est "avoir" une perception limité de L'être.
Le savoir est la science de l’instant présent, volonté de la conscience d'où jaillit l’information pour permettre à l’esprit manifesté d’exercer son pouvoir de discernement. A chaque instant. Nous avons le pouvoir de savoir ce que nous avons à faire de juste!
Juste utile à nos besoins et non à tous nos désirs. Juste utile à notre environnement et non à notre soif d’avoir toujours plus.
Juste utile à ce qui "est" dans le respect de l'autorité de l'être. Le résultat n’est ni vrai ni faux, ni bien ni mal, il est ce que je sais faire de mieux à cet instant de mon évolution en tant que créature vers la conscience de l'être: le créateur: La conscience du "JE"(u).
Il me libère de tout jugement sur ma parole, mon action et celles des autres.
En me libérant de l"attachement à la vérité...de la Source jaillit la conscience de l'être!
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